Je vais vous raconter la vérité sur le meurtre de Jean-pierre Schneider Le jour de sa mort, javais été convoqué durgence au 35, Paris, rue des magnolias. Je suis arrivé sur les lieux du crime, il était 14h 35. Mon commissaire était déjà arrivé :
- Et bien vous voilà enfin ! Dit mon commissaire.
Si javais été appelé, cétait à contre-coeur car il ne mapprécie pas beaucoup:
- Eh bien M.Fox ! Ne restez pas là les bras croisés et examinez plutôt le corps de ce pauvre homme qui vient de se suicider !
- Primo : Ce nest pas un homme. Deuxio : Cest un meurtre.
- Comment ça vous vous foutez de
ma gu
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- Pas de gros mot S.V.P ! Et je vais vous prouver que cest une femme.
Je pris la moustache du cadavre et je lai enlevé brutalement. Je pris aussi un verre deau et je le versai sur le visage de la victime.
- Du maquillage ! Sexclama mon patron. Bon je vous laccorde cest une femme, mais comment pouvez vous prouver que cest un meurtre ? Elle a la corde au cou !
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Effectivement la femme était pendue au plafond.
- Regardez la corde : elle est pleine de boue.
- Ça na rien dextraordinaire !
- Laissez-moi terminer je vous prie. Vous remarquerez quil ny a pas de boue sur les mains de la victime.
- Elle les a peut-être lavées !
- Si vous étiez au point de vous suicider. Vous vous laveriez les mains ?
- Humm
- Cétait peut - être quelqu'un de très soigneux, dit mon commissaire.
- Ça métonnerait, dis je. Car il y les empreintes de ses chaussures dans tout lescalier et le rez de chaussée, on peut le suivre à la trace ! Et je pense quil serait intéressant de faire analyser la boue par le labo .
- Pourquoi faire ?
- Et si cétait quelqu'un qui venait de lextérieur
- Où peut on trouver de la boue comme ça ?
- Aux marécages ...
Mon commissaire et moi sommes allés sur les lieux, cétait effectivement la même boue.
- Alors mon commissaire quen pensez vous ?
- Effectivement ça pourrai coller vous aviez raison mais, il manque quelque chose
- Quoi ? dis je.
- Pourquoi lassassin serait- il passé par là ?
- Je me demande comment vous avez fait pour devenir commissaire
- Comment ça ?!
- Il y a un ancien bunker dans la forêt. Tout le monde le sait !!
- Mais bien sûr ! Evidemment je le savais oui oui
- Je nen doute pas mon commissaire.
Nous nous allâmes voir le bunker, il était en béton armé et il était aussi fissuré à quelques endroits, car il avait reçu des tir dobus. Nous rentrâmes à lintérieur et nous vîmes des ordinateurs de contrôle, un appareil photo numérique, une caméra, des jumelles, une photo de la victime ainsi quune corde sèchement coupée. Et des centaines de papiers écrits en russe !!!
Nous trouvâmes des renseignements sur la victime et
des plans ainsi quune adresse en Russie.
- Demain je prends le premier avion pour la Russie .
- PAS QUESTION !! Cest moi qui doit y aller !! Hurla mon commissaire.
-Pas sûr commissaire
Je suis sorti du bunker et jai enfermé mon commissaire avec le cadenas qui était sur la porte .
- Vous êtes viré Fox
Sans lécouter je pris le premier avion pour la Russie.
Quand je suis arrivé à Moscou je me sentais tout drôle, comme observé, je pris un taxi et je fus poursuivis par un espion du K.G.B ! Le taxi était un vieux tacot et nous ne dépassions pas les 65 Km/h ! Je criais :
- Plus vite chauffeur ! Appuyez sur le champignon !
-Vous donner combien à Vladistiock pour plus vite rouler ?
- 500 euros !
- O.K $ !
Nous fonçâmes en direction dun fleuve Volga je crois. Juste au moment ou nous allions traversé le fleuve le pont-levis se leva et nous sautâmes par dessus un remorqueur. On allait à toute vitesse vers les 120 Km/h ! Déjà que je naime pas trop la vitesse mais alors dans les airs ! Nos poursuivants étaient dans une Porche 911 bleu marine. Ils ont eu moins de chance que nous, car il se sont écrasés sur le bateau. Quand tout à coup mon chauffeur me pointe sur la tempe un Magnum 44 ( gros pistolet ). J'ai compris que nos poursuivants étaient des amis ! Peu à après j'ai réussi à casser la vitre arrière droite du taxi et je réussis à m'enfuir du véhicule en marche. Mais malheureusement j'en suis sorti avec quelque bleus. Plus tard j'ai trouvé un hôtel et sur mon lit il y avait un papier sur lequel il était écrit : "rendez- vous à la dernière exposition de Londres et trouvez le message caché ". Le lendemain à 08 h précises j'ai pris le premier avion pour l'Angleterre . Une fois arrivé au musée on me demanda :
- Votre billet please (s'il vous plaît ).
- Police Judiciare j'enquête pour un meurtre.
- O.K aller y, mais d'abord montrez moi votre carte please.
- Bon ça vous va ? Vous en voulez plus ?
- Vous êtes sûr ?
-Bien sûr je n'ai rien à caché !
- Allez y !
Dans le musée il y avait des centaines de tableaux. Il y en avait un très bizarres car la peinture était encore fraîche j'ai demandé à un guide quand était arivé ce tableau :
- Il est arrivé ce matin ... m'a t'il dit.
-Merci.
Il y avait un papier qui dépassait de ce tableau bizarre. Je l'ai pris dans ma main et je l'ai ouvert. Il était écris "Rendez -vous 7 h du soir devant l'hôtel" Je suis allé au rendez-vous, pour tout vous dire j'avais peur, très peur. Je sentis une odeur bizarre. Et d'un coup on m'a plaqué mouchoir sur le nez plein de chloroforme... et brusquement , je m'endormis. Quand je me suis réveillé j'entendis un bruit assourdissant. J'ai ouvert les yeux et j'ai regardé autour de moi.
- Un train, je suis dans un train !!
Je vis un papier et un magnétophone, sur le papier il était écrit "mettez en route le magnétophone" J'ai mis le magnétophone en route et j'ai compris ça (car le son était mauvais) :
" Vous avez 5 minutes pour arrêter ce train et en sortir sinon vos mourrez carbonisez !"
- On commence vraiment à vouloir me tuer !
Je commençait à paniquer. Je me suis levé et ... PAN !
Cette fois quand je me suis réveillé j'étais dans une cabane, en fait ce que j'apellais une cabane était un arbre. J'ai essayé d'en descendre et je me suis écrasé comme une grosse bouse. Je me suis relevé et je vis un petit chemin. Je l'ai suivie et j'ai vu un panneau où c'était écrit : CENTRAL PARK ! Je m'écrais :
- New -york ! Je n'en revenais pas.
- Enfin vous voilà !
L'homme qui me parlait était tout en noir ses lunettes aussi et il était plutôt grand :
- De quoi ?! Comment ça "vous voilà enfin "?! C'est quoi cette mouïse ?!
- Vous avez raison je crois qu'on vous doit des explications ...
- Quelle explications ?
- Celle qui vous dise que vous êtes poursuivis par la "Mafia russe" ?
- Vous voulez dire l'ancien EFRR : Ex Force Rouge de Russsie ?
- Vous les connaissez ?
- Mauvaise connaissance ...
- Hum ... Je dois vous dire que rien de ce que vous croyez n'est vrai ...
Une voiture arriva, berline noir, j'ai entendu ces pneus crisser, elle était parfaitement propre et très belle.
- Je vous laisse vous en savez trop ...
Il sortit un pistolet et tira dans ma direction. Je l'ai évité de justesse, et la balle à fini sa course contre une poubelle.
Alwin et François CM2
Pour découvrir le deuxième auteur de l'histoire cliquez ici : Alwin

